Nous terminons ce voyage fiers, heureux et plein d’espoir mais aussi conscients de notre responsabilité dans les mois à venir. Les nombreux acteurs que nous avons pu rencontrer ont confirmé une volonté de co-construire un avenir commun et des liens entre jeunesses françaises et algériennes. Ils nous ont aussi alertés sur les faux espoirs qui avaient pu émerger de rencontres sans lendemain. C’est pourquoi ce voyage nous oblige.
Dans les prochains mois, il est entre nos mains d’entretenir le lien avec les contacts que nous avons pu trouver sur place et d’enclencher un processus de coopération. Créer des espaces de dialogue est une première étape mais à plusieurs reprises, associations et acteurs de la société civile algérienne, nous ont exprimé leur désir d’actions concrètes. C’est pourquoi nous mettrons tout en œuvre pour trouver des pistes ensemble.
Ce voyage n’est que le début, mais c’est cette première étape qui nous donne le recul et l’élan si nécessaires pour penser le futur de l’association et placer au cœur de notre projet le lien entre les deux rives de la méditerranée.
